De captivité

Pour Sylvia et Noureddin Bongo :

Exigeons la Justice !

Depuis leur "arrestation", Sylvia et Noureddin Bongo sont soumis à des traitements inhumains, incluant des pressions psychologiques, des violences physiques, des privations et des conditions de détention dégradantes. Ces actes constituent une violation flagrante des droits humains fondamentaux. Il est urgent de dénoncer ces abus et de réclamer justice et dignité pour les victimes.

Des actes inhumains contre Sylvia et Noureddin Bongo

Malgré l’interdiction des tortures inscrite dans l’article 11 de la Charte de la transition, Sylvia et Noureddin Bongo subissent des violences inhumaines. Sylvia a été battue avec un tuyau d’arrosage, frappée au visage, et étranglée. Noureddin, quant à lui, a enduré des coups de marteau, de pied-de-biche et de bâton, des tortures électriques au taser, et une perforation du tympan suite à un passage à tabac. Ces actes cruels et dégradants constituent de graves violations des droits humain

Liberté pour Sylvia et Noureddin

La situation d'Ali Bongo

Bien qu’ Ali Bongo (président du Gabon de 2009 à 2023) soit officiellement libre de ses mouvements, sa liberté reste de facto restreinte. En dépit de l’absence de charges formelles contre lui, il vit sous une surveillance constante de l'armée, avec des déplacements et des actions sévèrement contrôlés. Ses visiteurs sont filtrés et ses communications, notamment téléphoniques, sont limitées, l'empêchant de maintenir des contacts libres avec le monde extérieur. Cette situation de liberté surveillée de fait prive Ali Bongo de ses droits fondamentaux, le maintenant dans un état d’emprisonnement moral et politique, sans la possibilité de mener une vie pleinement libre.

Liberté pour Sylvia et Noureddin

Liberté pour Sylvia et Noureddin Bongo

Rejoignez notre mouvement pour la justice et la défense des droits humains de Sylvia et Noureddin Bongo.

Mobilisation pour la justice

Unissons nos voix pour exiger la vérité et défendre les droits fondamentaux de Sylvia et Noureddin Bongo et de sa famille.

Droit à une justice équitable

Sylvia et Noureddin Bongo ont droit à la justice, comme tout être humain. Leur détention arbitraire, les tortures infligées et les traitements inhumains qu'ils subissent violent leurs droits fondamentaux à la dignité et à un procès équitable. Exiger justice pour eux, c’est défendre les principes universels des droits humains.

Liberté pour Sylvia et Noureddin Bongo

Sylvia Bongo et Noureddin Bongo Valentin subissent des tortures et des traitements inhumains depuis leurs "arrestation" au Gabon : coups, tortures et extorsions ryhment leur captivité. Agissez contre les violations de leurs droits fondamentaux et exigez leur libération.

Agissez pour la libération Sylvia et Noureddin Bongo

Agir pour la libération de Sylvia et Noureddin Bongo

Il est urgent de se mobiliser pour la libération de Sylvia et Noureddin Bongo. Leur détention arbitraire et les violences qu'ils subissent sont des violations graves des droits humains. En agissant pour la libération de Sylvia Bongo et de Noureddin Bongo vous participez à la lutte pour la justice, la dignité et le respect des libertés fondamentales. Ensemble, faisons entendre leur voix et exigeons leur libération immédiate

REJOIGNEZ NOUS

Vous pouvez nous rejoindre pour dénoncer les tortures et injustices subies par Sylvia et Noureddin Bongo au Gabon. Votre soutien est essentiel pour exiger justice et liberté face à ces violations flagrantes des droits humains. Ensemble, faisons entendre nos voix.

Rejoignez nous

Téléphone :

+44 7508 1818 52

Email : contact@libertepoursylviaetnoureddin.org

Coup d'État au Gabon : les avocats de Sylvia Bongo portent plainte en France • FRANCE 24

Les avocats de Sylvia Valentin-Bongo ont déposé plainte à Paris vendredi pour détention arbitraire, ont annoncé à l'AFP Me François Zimeray et Jessica Finelle. L'épouse franco-gabonaise du président Ali Bongo Ondimba est "retenue dans un endroit indéterminé au Gabon, qui pourrait être sa résidence", selon ses avocats. "Mme Valentin épouse Bongo est privée de sa liberté depuis le putsch du 30 août 2023, tout comme son fils cadet Jalil", soulignent les deux avocats.

France 24. 1er septembre 2023